nom • Dwight.
prénom • Logan.
âge • Vingt-quatre ans.

sexe • Masculin.
orientation • Altersexuel.
né le • 28 Juillet.

groupe • Elysiens.
occupation • Etudiant en médecine.
statut social • Aisé.

basics

physique • cheveux noirs ◊ yeux bleus ◊ un mètre quatre-vingt-six ◊ soixante-quinze kilos ◊ droit ◊ bien-sur-lui ◊ air confiant ◊ radiateur sur pattes ◊ doigts habiles ◊ dents éclatantes ◊ a deux canines en trop, qui se superposent dans sa mâchoire supérieure ◊ se pince toujours le bout de l'index droit lorsqu'il réfléchit.

caractère • Il vous regarde et vous oublie, vous observe mais ne à vous comprend. Vous semblez l'apprendre d'un faible murmure mais très vite il vous semble loin. Le peur ronge ses ongles et mord ses doigts, lui attrape les tripes d'une vive douleur et lui noue la gorge. Ses mots s'enfuient sans qu'il ait le temps de les prononcer car la vérité, c'est qu'il a peur. Peur de vous, de ne pas vous comprendre car vous êtes un mystère, son équation irrésolue. Il se cache et vous casse, vous crache son poison pour mieux fuir le danger que vous êtes; l'inconnue de ses théories. Son sourire enchante mais le terrifie, ses yeux attirent mais le figent. Logan a peur de vous mais surtout de lui-même contre qui chaque jour il se bat. Sa fierté l'étouffe et lui brûle la gorge; il refuse d'admettre sa faiblesse. Il semble être un idéal de droiture et un exemple de justesse et cela pourrait être vrai s'il n'avait pas été aussi instable. Odieux comme mielleux, grognon comme souriant et agressif comme doux, il passe d'un état à l'autre comme rien, sans même s'en rendre compte.

Il vous irrite comme vous adoucit, vous donne l'envie de montrer des griffes et vous l'arrache aussitôt. Parce qu'il ne sait pas. Il ne sait ni ce qu'il est, ni ce qui lui plait. Il agit à l'instinct tel un animal, ne cherche pas à plaire, ne cherche pas à réfléchir, mais c'est justement ça qui le torture.

lieu de naissance • Uriel.
lieu de résidence • Criid.

histoire • Son souffle cassé caresse le bout de ses lèvres gercées et ses paupières fatiguées étaient retombées sur ses yeux secs. Jack était là, allongé sur le lit pendant que toi, impuissant, tu le regardais dépérir, sans bouger le petit doigt. Assis sur la chaise, tu l'observes, le détailles, le regardes et chaque fois un peu plus, l'amertume irrite ta gorge et coupe ta langue. Un faible gémissement sort de ta bouche entre-ouverte alors que tes yeux restent figés sur le déchet gisant sous les draps.

« Tu sais ? Je crois que je te déteste. »

Un sourire claque ton visage, te rend faible. Tu demeures immobile alors que tes yeux ne cessaient de le détailler, de haut en bas, de droite à gauche. Chaque fois que tu te rendais compte à quel point son teint était pâle et ses lèvres gercées, tu déglutissais, tant le spectacle était enchantant. Tu passes ta langue sur tes lèvres alors que machinalement tu te lèves, te plantes devant la fenêtre.

« Je dis je crois mais en fait je suis sûr. Parce que t'es parfait. Et ça m'énerve. Enfin, la perfection s'arrête là; si tu l'étais, tu ne pourrais pas mourir, pas vrai ? J'aurais préféré que tu sois éternel. »

Le silence règne. Tu baisses les yeux. C'était con, tu le savais. C'était un peu comme parler à un mur, mais d'un côté, ça te plaisait. Tu n'aurais pas voulu qu'il t'entende. Tu déblatérais les conneries à une vitesse hallucinante et toi-même tu ne t'en croyais pas capable. Un soupir t'échappe à cette pensée alors que tes yeux voyagent sur les draps trop blancs.

« Tu as froid ? C'est vrai que ce serait bête d'attraper un rhume. » Tu ne te rendais même pas compte de ce que tu disais. « Tu te souviens, quand on était gosse ? On jouait souvent dehors et tu étais toujours le seul à tomber malade. hm ? » Un sourire égaie ton visage alors tes yeux se perdent sur les draps blancs. « C'était les meilleurs moments. »

Tu t'assieds lentement sur le bord du lit et replie la couverture. Il devait avoir trop chaud, comme ça. Peut-être que c'était pas plus mal. Ta main tremblante vient remettre en place ses mèches et effleure son front glacé. Tu grimaces en constatant sa température.

« Je me rends compte que je sais rien de toi. A part ton nom, Jack, je ne connais que la couleur de tes beaux yeux. » Tu souffles, passe ta main brûlante dans ta nuque humide. « Enfin. Du coup je saurais jamais plus que ce que tu aurais bien voulu me dire, c'est peut-être mieux comme ça. » Tu te pinces les lèvres et le regardes du coin de l'oeil. Tu le savais. Il fallait le dire. C'était obligé. « Et pourtant je suis tombé amoureux. Pas de toi. Je suis juste tombé amoureux. » Tu serres les dents. Tout ça n'avait aucun sens. D'un maigre sourire tu te lèves, le regardes une dernière fois et avances, fermes la porte sur un dernier murmure. « Adieu. »

A PROPOS DE TOI • En fait je crois que cette case est juste horrible parce que personne a rien à raconter. Moi avec. Alors je vais plutôt vous faire cadeau d'un gif inutile.

& YOU ?